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Le Brain Boy® Universal

Le Brain-Boy®, conçu par Fred Warnke et commercialisé en exclusivité par MediTECH Electronic, évalue et entraîne 8 fonctions de base concernant la perception et le traitement central du cerveau humain.

 

Ces fonctions doivent être parfaitement automatisées car elles sont essentielles pour des tâches complexes telles que la vision, l’audition - analyse inconsciente et automatisée de l’ordre temporel et des hauteurs tonales, la motricité - l’écriture et le langage - l’orthographe.

Test Brain Boy

Les recherches de plusieurs scientifiques ont prouvé l’importance de ces fonctions et les répercussions positives en cas d’amélioration sur les capacités d’apprentissage.

Le Brain-Boy® sert comme appareil de test en thérapie, en médecine et dans l’enseignement. Mais il est avant tout un outil pour entraîner le cerveau avec une efficacité et une simplicité inégalées. Le Brain-Boy® est utilisé en cabinet (diagnostic, traitement) mais aussi à la maison par les personnes concernées.

Les 8 fonctions de base : 

  • Le seuil d’ordonnancement visuel est l’intervalle de temps nécessaire pour percevoir séparément deux stimuli visuels et pour les classer dans un ordre. Il joue un rôle important notamment dans la lecture. 

  • Le seuil d’ordonnancement auditif est le plus court intervalle entre deux stimuli sonores, qui peuvent être encore classés dans un ordre temporel. Il permet entre autres de différencier d/t, b/p, g/k.  

  • La localisation directionnelle auditive est déterminée d’après la distance séparant une source sonore du milieu des deux oreilles, grâce à laquelle l’enfant est capable de dire si le stimulus sonore qu’il a entendu venait de droite ou de gauche. Un bon niveau de localisation directionnelle auditive est nécessaire pour distinguer une voix - celle de l’institutrice - au milieu du bruit perturbateur qu’émettent les camarades de classe. Le bruit d’une classe atteint typiquement entre 50 et 60 dB (A), parfois même plus.  

  • Avec la discrimination des hauteurs tonales, il s’agit de déterminer la différence fréquentielle entre deux sons de hauteur semblable. Cette capacité est nécessaire pour la perception des voyelles et pour le décodage de l’intonation.  

  • Les déficits de la coordination auditivo-motrice font que les élèves dyslexiques ne savent pas transposer précisément des clics venant alternativement de la droite et de la gauche en fingertapping.  

  • Effectuer des tâches choix-réaction demande nettement plus de temps aux enfants dyslexiques – par exemple reconnaître des intervalles sonores ou des sons et confirmer ce choix en appuyant sur une touche.

  • Perception d’un modèle auditif : l’enfant entend une série rapide de trois sons dont deux sont identiques. Il doit indiquer lequel des trois est différent.  

  • L’aptitude à reconnaître de minimes différences en terme de durée de son est particulièrement importante pour pouvoir distinguer certains sons des autres.

Explications tirées du site Forum NeuroIntégration 

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